Comment aider à l’amélioration de la qualité de l’air ?

La planète terre étouffe, la santé de la biodiversité et de l’écosystème se détériore, la qualité optimale des ressources : eau, air a été infectée et empuantée. Et la cause est unique : la pollution. L’une des œuvres de l’homme, aux conséquences néfastes sur toute une communauté écosystémique.

Cette dégradation, est de plus en plus visible, de plus en plus lourde et percevable partout. Par où on passe, on décèle une détérioration, que ça soit de la qualité de l’air qui est empesté par les émissions de gaz à effet de serre, des rejets évacués des usines et des moteurs des véhicules. Ou bien de l’or bleu, qui est infesté Dans la présente rédaction on se pencher sur cet axe, très important, qui est l’un des piliers de stabilité de l’écosystème, spécifiquement et de la planète globalement.

Purification de l’air, une démarche qui nous concerne tous

En visant cette optique, dans un premier temps on arrive uniquement à limiter l’effet de pollution de l’air, qui est une véritable nuisance olfactive qui nuit à tout être vivant.

Les mesures de préservation et d’amélioration peuvent commencer par l’adoption d’un mode de vie sain, soucieux de l’environnement, on citera à titre d’exemple la mobilité douce. On parle à ce niveau-là de déplacement écoenvironnemental qui ne nécessite en aucun cas l’emploie de moyens de transport motorisés, tel que la voiture, la moto, le scooter, …etc. Mais en favorisant plutôt la bicyclette, la marche à pieds et les transports en commun, comme le métro.

Mais pas que, d’autres conduites dites écogestes ont un impact favorable sur l’environnement et surtout sur la qualité de l’air, parmi elles : le non emploi des pesticides dans le jardinage, réutilisation des déchets verts pour en produire des composts.

Qu’en est-il de la position des pouvoirs publics ?

Un engagement de leur part a été communiqué et validé par les autorités. Ce dernier a été formulé sous forme d’un programme stipulant de nombreuses normes et mesures sécuritaires à respecter, on parlera de :

  • Programme national de réduction des émissions de polluants, qui énonce des quantités d’émission, maximales à ne dépasser pour : le dioxyde de soufre, les oxydes d’azote et les composants organique volatil.
  • Plan national santé environnement, qui souligne les dispositifs à déployer afin de réduire les émissions de polluants dont les particules fines dans l’air, la pollution des voitures particulières…
  • Plan de protection de l’atmosphère, établi pour les communautés urbaines dépassant les 250 000 habitants, car le facteur polluant est très élevé dans les agglomérations. C’est bien pour cela, que des mesures de réduction du taux de polluants d’air ont été détérminées, dans divers secteurs, à savoir : industrie, agriculture, transport, …etc.
  • Plan d’urgence pour la qualité de l’air, destiné principalement pour les transports et les chauffages au bois industriels, source d’émission de gaz à effet de serre et grands émetteurs de ce dernier.
  • Plan particules, qui vise la réduction des particules fines polluantes dans l’air.

Les industriels prennent ils conscience de l’ampleur et de la gravité de la situation ?

L’état les oblige d’en prendre conscience, à travers la taxe exigée depuis 1999. La pénalité applique le principe du pollueur-payeur. Cette réglementation qui vise la préservation de la qualité de l’air, varie selon le taux de pollution émit par les industries. Plus les activités sont polluantes, plus la taxe devient élevée.

La qualité de l’air intérieur, peut-elle elle aussi être améliorée ?

Il ne faut certainement pas omettre l’air intérieur, même si souvent c’est l’air extérieur qui est le plus désagréable et plus influant. Cependant, quand ce dernier pénètre dans les logis, il crée une sensation d’inconfort et une atmosphère désagréable, provoquant parfois des maladies chronique comme l’asthme et les allergies. Cela dit, il est possible de conserver un air pur chez soi, il suffit simplement d’adopter quelques gestes au quotidien, pour chasser tous les polluants installés (chimiques, biologiques, …etc.) Et dans ce cas-là on parlera de :

  • Aération continue, en ouvrant les fenêtres tous les jours. Dis minutes suffiront largement pour évacuer et réduire l’humidité et les gaz nocifs.
  • Bannir la cigarette car c’est le premier facteur polluant l’air intérieur.
  • Opter pour les produits de nettoyage et d’entretien bio et traditionnels, tel que le vinaigre blanc. Ou bien favoriser les produits portant l’Écolabel Européen.
  • Installer une hotte afin de limiter la diffusion des particules polluantes.
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