Les énergies renouvelables et de récupération : de quelle indépendance énergétique parle-t-on ?

Les impacts du réchauffement climatique s’accroissent de plus en plus, provoquant de nombreuses nuisances d’ampleur importante. Et afin de limiter ces conséquences néfastes, on commence à recourir à de nouvelles politiques environnementales, dites alternatives énergétiques qui ont pour but de préserver la santé écosystémique. Cette stratégie vise principalement la réduction des émissions de gaz à effet de serre, source majeure de pollution provocatrice de nombreux aléas qui touchent divers secteurs.

Vous l’aurez compris, on parle d’énergies renouvelables et de récupération. Une technologie qui fait face à l’épuisement des énergies fossiles, suite à son utilisation abondante par l’homme. Des énergies engendrant des effets délétères sur le biotope et la biomasse.

Des énergies propres issues de la nature au service de la nature

Afin de maîtriser la consommation d’énergie et de valoriser cette démarche économiquement environnementale, un défi climatique a été lancé traitant cette optique et qui recourt principalement à l’emploi des énergies renouvelables et de récupération. Une alternative qui a la capacité de répondre aux besoins de plus de deux tiers des français d’ici l’an 2050.

Considérée comme un enjeu phare, dont il faut en tirer absolument profit. Certaines études démontrent que de nombreuses régions françaises adoptent divers systèmes au service de cette approche, grâce aux potentiels acquis, ainsi elles parviennent à optimiser leur production énergétique. A titre d’exemple, on citera l’Île-de-France qui en 2009 est arrivée à produire 13 000 GWh d’énergie, un taux qui va être probablement doublé d’ici 2020.

En quoi consiste la dissemblance entre l’énergie renouvelable et l’énergie de récupération ?

Même si l’objectif visé demeure le même, cependant il existe une grande différence entre les deux énergies. Il faudra dire que l’une n’est guère issue de l’autre bien au contraire, chacune diffère de l’autre et possède ses propres atouts et caractéristiques. Commençons par :

Les énergies renouvelables

D’une provenance naturelle (une existence résultante de phénomènes naturels). Elles sont des énergies inépuisables et durables, elles peuvent être de source : solaire, hydraulique, de la terre, du vent ou encore de la gravitation.

Cependant, leur exploitation exige des moyens de hautes technologies. Il faudra savoir que le bilan carbone a démontré un taux très faible d’émission de gaz à effet de serre par ces énergies, ceux qui un atout de lutte contre le changement climatique.

Les énergies de récupération

Dérivées d’un processus de recyclage et de réutilisation, de produits ou de matières censés être perdus et inexploitables. Le procédé puise dans divers types de déchets, par exemple on arrive à générer de la chaleur à travers l’incération de détritus, ou encore la production d’eau potable et de l’énergie électrique, par le traitement et la décantation des eaux grises.

Parmi les aubaines qu’elles présentent, on citera :

  • Limitation du gaspillage énergétique.
  • Respectent l’environnement et n’émettent aucun rejet de CO2.
  • Réduisent les coûts de production, car on n’y recourt pas aux grandes technologies sophistiquées.

Une mise en place qui sollicite la mise en place de technologies d’appoints

De nos jours, les écocitoyens recourent de plus en plus à l’emploi de ces énergies, en les intégrant dans leurs logis. En d’autres termes, ils se basent sur l’écoconception et l’éco réalisation. Cela leur permet d’adopter une démarche environnementale qui réduit leur empreinte consommatrice nocive mais également d’économiser des sous en plus en réduisant leurs factures. Sans dispenser la conduite verte reposant sur les écogestes.

Cela dit, parmi les technologies introduites génératrices d’énergies sont :

  • Les panneaux photovoltaïques, retrouvés au niveau des toitures orientées sud afin de capter le maximum de rayons solaires.
  • Les systèmes de récupération et de recyclage des eaux grises, ayant l’allure de citernes à double conduite : l’une réceptionne l’eau infectée, l’autre émet l’eau dépolluée.
  • Les éoliennes, ayant la forme d’une turbine, elle transforme l’énergie cinétique du vent en électricité.
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